Messages

Objectif atteint!

Voilà! C'est fait. Je suis allé au bout de mon engagement. De quoi parle-je? Vous avez raison de poser la question (bon, c'est vrai, c'est moi qui écris la question à votre place... en fait, même pas tel quel , parce que vous , vous auriez dit : De quoi parles-tu? ... et en plus, moi j'imagine à votre place que vous vous le demandez vraiment , alors que je ne vous l'ai même pas demandé... et même si je vous l'avais demandé pour vrai, et qu'on imagine que ç'aurait été possible pour moi d'avoir votre réponse, celle-ci aurait été multiple, et ça aurait fait de la chicane... alors, non, c'est moi qui tranche : vous vous êtes posé cette question , point!) Ouais! Alors... de quoi parle-je? En fait, je n'en ai jamais parlé ici (enfin, je crois). J'ai plutôt eu cette conversation avec moi-même il y a une bonne couple de semaines (je sais que une couple c'est un anglicisme, mais j'adore cette manière de dire les choses). Qu...

Encore un...

Déjà 19h35. Le temps file... Vite! Publions au moins quelque chose avant que tout le monde dorme! Il y a de ces soirs où on a juste envie de laisser défiler les mots au bout de la ligne, comme ce soir. Avouons que c'est une drôle d'idée, quand même, de se donner comme défi d'écrire chaque jour, même quand la tête est juste incapable de produire de l'originalité. Juste des phrases ordinaires, comme celles-ci. Il m'est arrivé, et je pense que j'en ai déjà parlé, que j'aie trouvé de l'inspiration en écrivant, exactement comme l'appétit peut venir en mangeant, et comme devenir forgeron arrive en forgeant. J'espérais vivement que ce genre de parallèle survienne : voilà, je suis exaucé d'un même paragraphe. Mieux, je vais faire comme d'une pierre deux coups : je vais faire d'une phrase deux sens. Où? Comment? Pourquoi? Je l'ignore encore. En fait, j'avais écrit un message au sujet de cette expression. Je l'avais trafi...

Écran blanc

C'est le bogue qui arrive lorsque l'utilisateur de la machine à écrire moderne est figé par un manque d'inspiration. C'est aussi le nouveau nom d'un syndrome bien connu passé à une ère numérique. Je dis ça de même... peut-être parce que je me sens concerné. Qui sait...

Le temps achève...

Le temps va péter bientôt! J'annonce que vendredi, je cesserai de publier quotidiennement sur ce blogue. Plus de détails... vendredi!

À bas le week-end!

Ben non, je veux pas qu'on élimine les fins de semaine, voyons! J'en veux plutôt à l'anglicisme week-end , qui est maintenant devenu largement accepté. En fait, j'ai une suggestion . Eh oui! (Là, faites-moi plaisir : faites semblant d'entendre un lourd roulement de tambour...) (puis... cymbale.) C'est l'heure d'inventer un mot nouveau pour remplacer week-end. Bref, mettre un terme à sa place! (re-tambour-cymbale, en accéléré) (Hein?) Approchez, approchez... ... ben, pas trop proche, là. Juste assez pour lire. Sans plus tarder, voici le mot : SAM-DIM ! Je sais, ça sonne comme un mets chinois... mais quand même, on reconnaît tout de suite les abréviations pour samedi et dimanche , soit les deux jours dudit weekend! Pourquoi ce terme? Pourquoi pas fin de semaine? D'abord, parce que pour qu'un terme soit accepté en français, il faut qu'il ait un sceau d'approbation de l'Académie française et du peuple...

Et quoi d'autre?

Je l'ignore. Je m'en fous. Vous aussi. C'est vendredi. Est-ce que ça rime? Wow. J'ai réussi à faire une rime! Je suis un génie! Et rien d'autre.

Un président, ça trompe, se trompe...

En conférence de presse : Monsieur le Président, la pollution atmosphérique a grandement augmenté depuis que vous avez relancé l'industrie du charbon. Qu'allez-vous faire pour la diminuer? Vous voulez rire! Le niveau de pollution aux Etats-Unis n'est rien comparé à celui du Mexique. Vous savez, les Mexicains nous envoient plus d'air sale en un an que nous en produisons dans un seul État en un mois! D'accord, nous allons vérifier cela, mais si vous augmentez la production de charbon, et que vous additionnez la pollution mexicaine, il y a inévitablement plus de pollution dans l'air, n'est-ce pas? Qu'allez-vous faire? Nous le savons. C'est pourquoi nous avons décidé de surélever le mur qui sépare nos frontières à la hauteur du plus grand édifice de toute la surface des Etats-Unis. De cette façon, aucun Américain ne pourra respirer de l'air sale mexicain. Évidemment, ce sont les Mexicains qui paieront la facture. C'est leur air qui est sale...