Que voulez-vous que je vous dise?
J'aurais aimé avoir quelque chose de rigolo à dire ce soir, mais l'inspiration est vraiment trop bien cachée. Tant mieux pour elle. J'ai envie de la laisser se reposer un peu. Bientôt, elle ressortira avec plein d'autres tours à jouer aux mots.
Alors ce soir, je vais plutôt écrire à propos de cette difficulté d'écrire lorsque l'inspiration n'est pas au rendez-vous. Lisez si ça vous chante. Moi, mon objectif est atteint. Vous comprendrez en lisant.
Commençons par régler le cas de cette espiègle rebelle qui n'a aucun besoin d'être présentée. Pourtant, vous vous en doutiez sans doute : l'inspiration ne se commande pas d'elle-même; il y a toujours quelque chose qui la provoque.
De toute façon c'est connu : pour écrire, il faut toujours partir de quelque part. À la limite, on peut tout simplement commencer avec quelques mots banals, et on ajoute ensuite ce qui nous vient en tête, comme ça vient. En tous cas, pour moi, ça fonctionne bien comme ça.
Toujours est-il qu'il faut partir de quelque part. Avec une intention? Peut-être. Peut-être que non. Ça dépend. Ça dépend de quoi? Ça dépend de l'objectif qu'on a donné pour ce que l'on écrit ou que l'on veut écrire.
Vous voyez, sur ce blogue, je me suis donné des objectifs, en plus d'une mission. L'un des objectifs est d'écrire chaque jour, sauf le dimanche. Je dis objectif, mais c'est plus une règle ou un moyen. Un objectif doit viser un but, et dans ce cas, le but, c'est la discipline.
En fait, il y a deux buts (on pourrait aussi dire deux objectifs) : me discipliner, oui, mais aussi pratiquer mes aptitudes à l'écrit, pour que je sois plus rapide et plus agile. Dans les deux cas, mon défi est d'apprendre à être un écrivain (ou un rédacteur?) rigoureux et discipliné. On pourrait dire que ce but serait de discipliner ma pratique. Voilà. C'est presque tout à fait ça. Et le moyen de le faire, c'est la règle : celle d'écrire chaque jour.
Or, la mission de mon blogue comprend en partie cet objectif de pratique, mais aussi celle d'intéresser et de divertir d'éventuels lecteurs (je sais qu'il y en a déjà quelques uns). J'ai déjà abordé ce dilemme plus tôt, dans les premiers messages envoyés (ou articles publiées).
Je devais parler de la difficulté d'écrire en manque d'inspiration. Le problème c'est la contrainte. Ici, la contrainte, c'est d'écrire chaque jour. Et puisque l'inspiration ne se commande pas, j'ai deux choix : soit passer par dessus la règle (celle d'écrire chaque jour), soit contredire en partie la mission, c'est-à-dire de divertir.
En ce moment même, je vis ce dilemme. Je me fais plaisir à moi-même en répondant à mon objectif, et en même temps, je risque de faire fuir mes lecteurs, qui s'attendent à être divertis.
Mais il y a plus! Il y a pire! Il y avait une autre contrainte : celle d'être bref! Voilà que je l'ai transgressée honteusement. Toutefois, cette allusion est hors sujet, alors je peux au moins passer rapidement dessus.
Au final, la difficulté, c'est le fait qu'en temps normal, on écrit quelque chose d'intéressant les jours où l'inspiration se pointe en puissance, sinon on attend le jour suivant. Difficile d'avoir quelque chose d'intéressant à écrire chaque jour. Peut-être est-ce simplement une question d'expérience?
Peu importe. Pour contourner cette difficulté, mon truc à moi, c'est de varier les sujets. Si l'inspiration refuse de jouer avec les mots, je me résigne à parler de moi. À parler de ça, de ce sujet. Au moins je répond à l'une des règles et je me fais plaisir.
(Tant pis pour celle de la brièveté.)
Alors ce soir, je vais plutôt écrire à propos de cette difficulté d'écrire lorsque l'inspiration n'est pas au rendez-vous. Lisez si ça vous chante. Moi, mon objectif est atteint. Vous comprendrez en lisant.
Commençons par régler le cas de cette espiègle rebelle qui n'a aucun besoin d'être présentée. Pourtant, vous vous en doutiez sans doute : l'inspiration ne se commande pas d'elle-même; il y a toujours quelque chose qui la provoque.
De toute façon c'est connu : pour écrire, il faut toujours partir de quelque part. À la limite, on peut tout simplement commencer avec quelques mots banals, et on ajoute ensuite ce qui nous vient en tête, comme ça vient. En tous cas, pour moi, ça fonctionne bien comme ça.
Toujours est-il qu'il faut partir de quelque part. Avec une intention? Peut-être. Peut-être que non. Ça dépend. Ça dépend de quoi? Ça dépend de l'objectif qu'on a donné pour ce que l'on écrit ou que l'on veut écrire.
Vous voyez, sur ce blogue, je me suis donné des objectifs, en plus d'une mission. L'un des objectifs est d'écrire chaque jour, sauf le dimanche. Je dis objectif, mais c'est plus une règle ou un moyen. Un objectif doit viser un but, et dans ce cas, le but, c'est la discipline.
En fait, il y a deux buts (on pourrait aussi dire deux objectifs) : me discipliner, oui, mais aussi pratiquer mes aptitudes à l'écrit, pour que je sois plus rapide et plus agile. Dans les deux cas, mon défi est d'apprendre à être un écrivain (ou un rédacteur?) rigoureux et discipliné. On pourrait dire que ce but serait de discipliner ma pratique. Voilà. C'est presque tout à fait ça. Et le moyen de le faire, c'est la règle : celle d'écrire chaque jour.
Or, la mission de mon blogue comprend en partie cet objectif de pratique, mais aussi celle d'intéresser et de divertir d'éventuels lecteurs (je sais qu'il y en a déjà quelques uns). J'ai déjà abordé ce dilemme plus tôt, dans les premiers messages envoyés (ou articles publiées).
Je devais parler de la difficulté d'écrire en manque d'inspiration. Le problème c'est la contrainte. Ici, la contrainte, c'est d'écrire chaque jour. Et puisque l'inspiration ne se commande pas, j'ai deux choix : soit passer par dessus la règle (celle d'écrire chaque jour), soit contredire en partie la mission, c'est-à-dire de divertir.
En ce moment même, je vis ce dilemme. Je me fais plaisir à moi-même en répondant à mon objectif, et en même temps, je risque de faire fuir mes lecteurs, qui s'attendent à être divertis.
Mais il y a plus! Il y a pire! Il y avait une autre contrainte : celle d'être bref! Voilà que je l'ai transgressée honteusement. Toutefois, cette allusion est hors sujet, alors je peux au moins passer rapidement dessus.
Au final, la difficulté, c'est le fait qu'en temps normal, on écrit quelque chose d'intéressant les jours où l'inspiration se pointe en puissance, sinon on attend le jour suivant. Difficile d'avoir quelque chose d'intéressant à écrire chaque jour. Peut-être est-ce simplement une question d'expérience?
Peu importe. Pour contourner cette difficulté, mon truc à moi, c'est de varier les sujets. Si l'inspiration refuse de jouer avec les mots, je me résigne à parler de moi. À parler de ça, de ce sujet. Au moins je répond à l'une des règles et je me fais plaisir.
(Tant pis pour celle de la brièveté.)
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