La fatigue
Ce qui est cool avec un blogue à peu près sans restriction comme celui-ci, c'est que je peux parler d'à peu près n'importe quel sujet; il me suffit d'écrire ce qui me sort de la tête à l'instant même, et dès que c'est publié, ma mission du jour est accomplie.
La beauté de la chose, c'est que je peux improviser d'un rien.
D'une certaine manière, c'est comme une sorte de match d'improvisation, mais à l'écrit. Sauf qu'il n'y a qu'un seul joueur (moi). Il n'y a pas d'arbitre non plus. Pas de foule (bon, d'accord, vous êtes là, mais vous n'y êtes pas en personne... et moi non plus pour vous, d'ailleurs!). Il n'y a pas, non plus, de pointage... pas même de place pour j'aimer!
En fait, il n'y a aucun match du tout. Ni coin droit, ni coin gauche. Aucun carton, aucune couleur. Rien de mixte ou à comparer. Juste des mots dans une case.
La fatigue, donc. Pourquoi un tel titre pour un message? C'est sûrement parce que, comme un peu tout le monde, je suis fatigué de la semaine qui vient de se terminer. Considérant ceci, je me permets un peu de latitude (et pas pour autant de lassitude) dans le choix de mes sujets. D'ailleurs, je sais que vous me lirez peut-être plus tard qu'un vendredi soir. Peut-être que vous passerez tout droit aussi.
En tous cas, c'était mon petit mot de fin de semaine. Je vous en souhaite une bonne! À lundi!
La beauté de la chose, c'est que je peux improviser d'un rien.
D'une certaine manière, c'est comme une sorte de match d'improvisation, mais à l'écrit. Sauf qu'il n'y a qu'un seul joueur (moi). Il n'y a pas d'arbitre non plus. Pas de foule (bon, d'accord, vous êtes là, mais vous n'y êtes pas en personne... et moi non plus pour vous, d'ailleurs!). Il n'y a pas, non plus, de pointage... pas même de place pour j'aimer!
En fait, il n'y a aucun match du tout. Ni coin droit, ni coin gauche. Aucun carton, aucune couleur. Rien de mixte ou à comparer. Juste des mots dans une case.
La fatigue, donc. Pourquoi un tel titre pour un message? C'est sûrement parce que, comme un peu tout le monde, je suis fatigué de la semaine qui vient de se terminer. Considérant ceci, je me permets un peu de latitude (et pas pour autant de lassitude) dans le choix de mes sujets. D'ailleurs, je sais que vous me lirez peut-être plus tard qu'un vendredi soir. Peut-être que vous passerez tout droit aussi.
En tous cas, c'était mon petit mot de fin de semaine. Je vous en souhaite une bonne! À lundi!
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